L’avancée des nouvelles technologies ne cesse d’en étonner plus d’un. Matériels intelligents, drones et autre équipement : l’environnement de l’homme a depuis peu changé du tout au tout. Aujourd’hui, on parle même de réalité virtuelle. Bien loin d’être une nouveauté sur le marché, cette technologie est sur le point de modifier la conception que l’on a du monde, et notamment du secteur du tourisme. Vous pouvez savoir plus sur ce site : territoires-activites.com.
Le VR et le RA : qu’est-ce que c’est ?
Quand on parle de réalité virtuelle, on entend souvent VR ou Virtual réality et RA ou Réalité augmenter. Dans les salons pour les nouvelles technologies, ce genre de matériel est déjà disponible.
Utilisée largement dans le domaine des jeux et divertissement en tout genre, la réalité virtuelle nécessite encore l’utilisation d’un casque spéciale. Il s’agit de plonger dans un univers 3D aussi vrai que nature.
Simple à utiliser et pratique, la réalité virtuelle pourrait venir changer la conception du domaine du tourisme de bien des manières selon les experts. Pierre Éloi avait d’ailleurs présagé la mise en vente d’un billet pour du tourisme en VR d’ici 2016. On imaginait alors une immersion totale dans un monde 4D sur 360 °. Même si la prédiction connait un peu de retard, elle prouve que les acteurs touristiques parlent depuis un certain nombre d’année de l’utilisation de cette nouvelle technologie.
Voyage virtuel, présentation digitale des prestations et de principaux sites de n’importe quel pays du monde, et bien d’autres encore : les possibilités sont infinies, surtout dans la mesure où les recherches en la matière continuent d’évoluer.
Une nouvelle manière de présenter les prestations des acteurs touristiques
La suite logique de l’utilisation de la réalité virtuelle dans le tourisme serait de faciliter les démarches marketings des tours opérateurs et des agences de voyages. Comme on dit : « une image vaut 1 000 mots ». Proposer aux clients un avant-gout de ce qui les attend pourrait impacter sur le nombre de visites de certains pays du monde.
Il ne s’agira plus de proposer des photos ou de filmer en hauteur les attractions touristiques. On pourra présenter une immersion d’avance aux clients pour qu’ils puissent juger par eux-mêmes de la qualité de la prestation. Selon certains analystes : c’est à cela que ressemblera le tourisme d’ici 2030.
La réalité virtuelle permettra aussi de spécifier chaque étape des circuits proposés, en mettant en avant les atouts majeurs d’une région. Sans compter que cela rassurera les parents sur la sécurité des petits.
Pour les particuliers, le VR dans le tourisme présente de nombreux avantages. On pourra notamment choisir en toute connaissance de cause les destinations idéales pour tel ou tel projet de voyage. On n’aura plus à argumenter des heures pour convaincre chaque participant. Ces derniers pourront juger d’eux-mêmes.
Le tourisme virtuel : une prestation qui prend de plus en plus d’ampleur
Cependant, force est de constater que le tourisme virtuel n’est plus aujourd’hui un objectif à atteindre. C’est déjà une réalité. Les plus grands musées de France, ainsi que certains sites historiques sont déjà accessibles en ligne, et ce, depuis de nombreuses années. On ne parle pas seulement ici de billetterie. Il est question d’une véritable visite depuis le confort de son chez soi.
De nombreuses entreprises proposent aux particuliers qui veulent profiter de la beauté des œuvres des musées de France de les apprécier sans avoir à sortir pour quelques dizaines d’euros. La visite touche le moindre recoin du musée et concerne les plus belles expositions des lieux. Les clichés sont de qualité, de manière à permettre aux clients de s’immerger complètement dans le décor des lieux. L’avantage est que vous pouvez commander une visite à n’importe quelle heure de la journée.
Ce concept a été repris par quelques hôtels et agences immobilières afin de faciliter la présentation de leur prestation.
Cependant, avec la réalité virtuelle en 3D, l’expérience sera plus réaliste et plus conviviale. Avec le VR, on aura l’impression de se promener littéralement dans les sites touristiques, et plus seulement dans les musées. De quoi minimiser les frais aussi bien pour les acteurs touristiques que pour les particuliers.